L’intellectualisation des devises de Sartre

Philosophe français et principal porte-parole de l’activité existentialiste dans la France d’après-bataille. La fonction la plus importante de Sartre, Être et néant, a une dette financière fantastique envers beaucoup de ceux qui avaient éliminé avant lui, principalement Kierkegaard et Heidegger. Néanmoins, la philosophie de Sartre revendique une qualité et une pression qui ont saisi l’état d’esprit de ses instances à l’intérieur d’une manière beaucoup plus efficace que celle de ses prédécesseurs ou de ses contemporains existentialistes, tels que Camus, Merleau-Ponty et de Beauvoir. Le thème clé des concepts existentialistes est l’affirmation que «l’existence précède l’essence». A partir de là, Sartre promet d’exprimer la scène où le gars existe tout d’abord sans objectif ni sens, se découvre sur la planète et se contente alors, en réaction à l’expérience, de décrire le concept de son style de vie. C’est le revers d’un argument introduit par Aristote dans l’intégrité, que la personne est faite pour atteindre un objectif ou un objectif, et que la réalisation de toute vie se compose en essayant d’atteindre ce but. À titre de comparaison, Sartre fait valoir qu’étant donné qu’il n’y a pas de Seigneur ou de signataire pour proposer un objectif à un homme, c’est au patient de choisir le mode de vie qui lui paraît le plus beau. Néanmoins, la discussion discrète de Sartre ne s’appuiera pas sur son athéisme pour prouver le principe existentiel. Même pour une idée dans Le seigneur est, sur la base de Sartre, une sélection individuelle – c’est une existence et un but choisis. L’idée à l’intérieur d’une divinité ne sera jamais forcée après un individu. Même si un particulier a été d’obtenir les visions remarquables d’Abraham, c’est néanmoins approximativement le patient de comprendre les visions individuelles: le discours dans les hallucinations divines ou lunatiques? Seul l’individu, pas le seigneur, peut faire cette interprétation. Sans aucun doute, c’est vraiment un principe plus large de la philosophie de Sartre que l’homme n’est jamais forcé; il est confronté à un choix à chaque transformation. Même si un homme est emprisonné ou même une arme organisée à sa tête, fait valoir Sartre, c’est son choix de se conformer ou de défier – les conséquences n’exonèrent généralement pas un particulier de faire ce choix. Cette flexibilité radicale, reconnaît Sartre, a des effets lourds. Nous sommes responsables de tout ce qui se passe. Un seul est incapable, dans l’existentialisme sartréen, de faire des excuses ou de reporter l’obligation soit à l’obtention divine, soit à la nature individuelle: pour y parvenir, il s’agirait d’une auto-illusion ou de la «mauvaise foi». Cela peut entraîner 3 problèmes liés à la personne. Tout d’abord «l’angoisse», résultant de la connaissance du poids des responsabilités que nous détenons tous. Chaque petite chose que nous faisons tous affecte non seulement nous-mêmes, mais par nos choix et nos étapes, nous créons des exemples pour le reste de l’humanité. Lorsque nous faisons un choix, ce n’est pas simplement un choix individuel, mais une annonce au monde que c’est ainsi que la vie doit être guidée. La prochaine pression est «l’abandon». L’existentialiste découvre «extrêmement embarrassant» que le seigneur n’existe pas. Car il s’ensuit que nous sommes donc livrés à vous-mêmes sans assistance ni conseil en matière d’éthique. En fait, nous devons veiller à ce qu’il progresse au fur et à mesure que nous allons ensemble. Troisièmement, il y a le «désespoir». Par cela, Sartre implique que nous devons répondre sans espoir, renonçant à l’instinct d’avoir confiance en ce que les points sortiront pour trouver le meilleur. Il n’y a absolument aucune providence. Les conséquences de l’existentialisme de Sartre sont évidemment lourdes mais inévitables. Nous avons été «condamnés à être libres». Mais cela ne donnera pas lieu à toutes sortes de pessimisme, car ses détracteurs ont souvent accusé sa philosophie d’engendrer. L’existentialisme montre «une sévérité d’optimisme», nous dit Sartre. Son concept positif est le fait que «le sort des gars est placé en eux-mêmes».

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